Pas une ligne qui ne vous soit tendue
En geste de présence ;
Pas une qui n'ait été cueillie
Au rythme de sa propre marche ;
Pas une qui n'ait senti passer sur
elle
Le vent de sa déroute ;
Pas un mot, pas une lettre
Qui n'aient cherché en eux
La complicité de l'instant ;
Pas un poème qui n'ait reçu l'onction
De sa jeunesse ;
Pas un pas sans vous
remercier
Pour ce chant en partage.
Jean Lavoué
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