Juste un peu de lumière,
Cette bonne nouvelle colportée, de branche en
branche,
Par l’aile des oiseaux,
Ce trois fois rien qui nous console,
Ce frémissement de pauvreté et de joie,
Ce passant attardé qui nous hèle,
Ce vide en nous qui appelle,
Ce souffle au bout de nos pas,
Et cette Source qui nous relève
Tant que nous avons soif,
Que nous nous laissons traverser par elle,
Tant que nous espérons.
Jean Lavoué, ce 2 avril 2017 au réveil
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