En ce 1er novembre, cette
chanson de mon ami Philippe Forcioli que j’ai tant aimé interpréter ces
dernières années :
http://www.dailymotion.com/video/x80oi0
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Il ne restera de nous
Qu’une poignée de sable
Le souvenir très doux
Des heures passées à table
A partager le pain d’amour
Et les paroles comme cascades
Il ne restera de nous
Qu’un soleil d’évidence
Dansant nu et très fou
Sur l’autel de l’enfance
Et brûlant gris tous ses cheveux
Au mystérieux de l’existence
Jusqu’aux berges de nous
J’ai poussé la balade
J’ai bu tous les vins doux
Des larmes camarades
Le désert est un océan
Et l’amitié un coquillage
Je m’en vais tout au bout
De ma vie de bohème
Le poème à genoux
Sera mon chrysanthème
Ma mémoire est un grand labour
Des pas sonores de ceux qui sèment
Des pas sonores de ceux qui sèment
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