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vendredi 19 janvier 2018

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Nul échafaudage
pour m'élever dans ta lumière

Seule la mémoire des traces
que tu laissas
sur mes rivages

Je reste là
pour ton passage

Veillant ton visage
incendié



Jean Lavoué
Soleil des grèves, Calligrammes 1996












































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1 commentaire:

veron a dit…

Quel bonheur et réconfort de pouvoir lire et cela chaque jour un poème qui correspond si bien à ma vie présente merci

[URL=http://www.compteur.fr][IMG]https://www.compteur.fr/6s/1/6057.gif[/IMG][/URL]