Maintenant que le rythme
Se fait lumière en toi
Tu n’as plus à marcher
Vers le lieu de ton repos
Tu épouses l’instant
Des solitudes vives
Toute présence t’est familière
Te voici à jamais
Dans l’enfance du Chant
L’oiseau te rejoint
En ton assise lente
Les couleurs te respirent
Le silence est ta voix
Aucun mot ne t’ignore
Qui se souvient de toi
Jean Lavoué
17 février 2018
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