Quand tes pas sont
de feuilles,
Tes gestes de
bourgeons,
Tu n’es plus étonné
Par l’ardeur des
saisons.
Tu calmes par ta
voix
L’oraison des
nuages,
Rien n’a tant
d’importance
Que d'aimer leur
sillage.
Tu laisses aller le
vent
En son chant
insoumis,
Tu apprivoises ainsi
L’Etat de Poésie.
Jean Lavoué, 17 janvier 2019
Photo JL Port-Louis 27 janvier 2019
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