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lundi 14 octobre 2019

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Quelques retours de lecteurs à propos de "René Guy Cadou la fraternité au coeur" Éd. L'enfance des arbres, disponible depuis le 1er octobre 2019

"Je dévore votre livre sur Cadou à belles dents et je suis très admiratif du travail que vous avez effectué. Vous allez au plus près du texte, au cœur du poème et vous le faites en poète, si bien qu’on est loin d’un travail critique de “dépeçage linguistique” comme j’ai pu parfois en rencontrer.
De plus vous convoquez tous les poètes et/ou amis qui ont interrogé non seulement cette œuvre, mais se sont comme vous aussi interrogés sur leur rapport à cette poésie en se demandant pourquoi ce poète fait tressaillir nos fibres les plus profondes, et vient comme un baume sur les blessures du temps en nous conviant à un espace où il semble s’abolir.
Vous nous faites aller plus loin dans la perception du poème, dans son intimité, sans jamais le paraphraser ou “l’enrôler” dans une théorie ou école de pensée.
Au-delà du cercle des fervents amis de la poésie de Cadou, votre livre peut être une belle introduction et incitation à sa découverte."

Eric Hollande

"J’ai dévoré votre livre en deux jours, quasi d'une traite. J'y ai appris des choses de façon "interne", sensible. Vous avez derrière vous beaucoup de lectures, de recherches, la passion et la patience conjuguées. C'est une vision toute personnelle que vous nous donnez de Cadou, nourrie par votre histoire et par votre propre foi, mais cela avec une honnêteté telle qu'une athée comme moi peut vous suivre. Vous m'avez donné envie de relire Cadou…
J'aime infiniment la poésie d'Hélène Cadou, plus proche de nous dans sa forme, elle respire la grâce à chacun de ses mots. C'est l'une des personnes qui m'a le plus marquée dans la vie. Un soleil d'une grande puissance l'habitait. J'ai compris en la regardant ce qu'était la joie profonde.
"Renélène" sont indissociables, à jamais, dans notre cœur et dans l'histoire de la poésie. Soyez remercié de les garder tous deux vivants, souriants à la vie qu'ils aimèrent. Bien à vous, dans le partage du poème.

Marilyse Leroux

"J'ai aimé, à travers ton livre, mieux percevoir ce qui habitait René Guy Cadou en ses profondeurs. On ne parle pas beaucoup en effet de sa quête intérieure et pourtant elle affleure en beaucoup de ses poèmes. Je ne m'en étais pas rendu compte à ce point…
Grâce à toi, Cadou me devient un compagnon beaucoup plus proche. Sa simplicité, sa droiture, sa liberté intérieure, son humour, son humilité et sa fraternité me touchent et m'inspirent ; ça sonne juste et vrai…
Quel bonheur de me sentir en communion avec Cadou, avec ses inspirateurs que j'ignorais, sauf Max Jacob, et avec tous les humains qui tâchent à longueur de vie de s'humaniser et de s'entraider sur ce chemin. Tout près de la porte d'entrée de notre maison, nous avons écrit les belles paroles adressées à Cadou par Max : "Soyez humain si vous voulez être original". Où avons-nous trouvé la phrase ? Je crois que c'est dans "Cadou Loire Intérieure" de Jean Rouaud. C'est un de mes mantras ! Merci encore !"

Jacques Musset

"Ton écriture, tout à la fois poétique et fluide, nous exhorte à l’ouverture intérieure et à la relation, en nous laissant rejoindre par René Guy Cadou qui à travers toi et tous ses amis, nous parle au cœur.
Car justement René Guy ne cherche rien d‘autre que d’être. Etre et vivre avec l’absence chevillée à l’âme, avec ce Dieu introuvable hormis dans la nature et les gares et bistrots, avec Hélène qui veille, avec tous ses frères en humanité.
Ta « lectio divina » des poèmes de René Guy comme un petit chemin à suivre à la suite et avec René Guy où nous nous laissons entraîner, nous nous laissons faire, retourner, voire transfigurer par le poème.
Cette lecture, j’aime la laisser aller où elle veut, parfois comme un jeu - sérieux - un jeu relationnel et toujours au fond avec l’auteur, un jeu de cache-cache, un jeu de reliance aussi, un jeu de surprises…
Tes questionnements : quel juste chemin ! Tâtonner, s’ouvrir à l’inconnu, ne pas avoir de certitude, surtout pas, mais laisser en soi se dilater et se décanter une parole vivante et habitée, et la laisser nous rejoindre au plus profond de notre être sans que raison s’en mêle.""


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