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« Le temps qui m’est donné »

Que l’amour le prolonge

René Guy Cadou

Gratitude pour ces nouveaux chaleureux retours de la part de lecteurs de « René Guy Cadou la fraternité au cœur » L’enfance des arbres, octobre 2019

https://www.editionslenfancedesarbres.com/reneacute-guy-cadou---jean-lavoueacute.html

Quel brûlot merveilleux que cette « fraternité au cœur » que vous conjuguez avec René Guy Cadou si tendrement partagé et donné à (re)connaître sous votre plume attentive ! De tout cœur merci de ce beau livre de lumière plusieurs fois relu déjà depuis son arrivée.
A croire qu’il vous a été dicté aussi au plus proche du cœur de ce frère d’âme dont vous savez faire le frère de tous. Avec quelle empathie, quelle patiente tendresse vous savez dresser autour de lui toute une forêt d’âmes (…) Avec quelle empathie vous nous faites aimer ce bouleversant frère d’humanité, plus proche ainsi que de son vivant, son court vivant !

De ce magnifique livre de vie et de résurrection on peut répéter le mot d’Hélène : « Vous avez mis tellement d’amour que ça devient lumineux »

Sylvie Reff, poète

"La Fraternité au Cœur" est vraiment le plus beau livre que j'ai lu, Jean ! La densité de chaque mot, l'appel à la mémoire, la quête de vérité...même si elle est parfois dure à vivre, et aussi le respect profond de ce que "l'autre" partage de ses propres émois... Ce livre demeure près de moi

Anne Sigier, éditrice

Je dévore votre livre sur Cadou à belles dents et je suis très admiratif du travail que vous avez effectué.

Vous allez au plus près du texte, au cœur du poème et vous le faites en poète, si bien qu’on est loin d’un travail critique de “dépeçage linguistique” comme j’ai pu parfois en rencontrer.

De plus vous convoquez tous les poètes et/ou amis qui ont interrogé non seulement cette œuvre, mais se sont comme vous aussi interrogés sur leur rapport à cette poésie en se demandant pourquoi ce poète fait tressaillir nos fibres les plus profondes, et vient comme un baume sur les blessures du temps en nous conviant à un espace où il semble s’abolir.

Vous nous faites aller plus loin dans la perception du poème, dans son intimité, sans jamais le paraphraser ou “l’enrôler” dans une théorie ou école de pensée.

Au-delà du cercle des fervents amis de la poésie de Cadou, votre livre peut être une belle introduction et incitation à sa découverte.

Eric Hollande, poète et chanteur interprète de Cadou

J'ai aimé, à travers ton livre, mieux percevoir ce qui habitait René

Guy Cadou en ses profondeurs. On ne parle pas beaucoup en effet de sa quête intérieure et pourtant elle affleure en beaucoup de ses poèmes.

Grâce à toi, Cadou me devient un compagnon beaucoup plus proche.

Sa simplicité, sa droiture, sa liberté intérieure, son humour, son

humilité et sa fraternité me touchent et m'inspirent ; ça sonne juste et

vrai. C'est avec ces sentiments que je m'efforce de conduire ma propre

existence. Et par expérience, je sais qu'ils engendrent la vraie vie.

Quel bonheur de me  sentir en communion avec Cadou, avec ses

inspirateurs que j'ignorais, sauf Max Jacob, et avec tous les humains

qui tâchent à longueur de vie de s'humaniser et de s'entraider sur ce

chemin.

Jacques Musset, écrivain

Merci pour votre livre que j'ai dévoré en deux jours, quasi d'une traite. J'y ai appris des choses de façon "interne", sensible. Vous avez derrière vous beaucoup de lectures, de recherches, la passion et la patience conjuguées. C'est une vision toute personnelle que vous nous donnez de Cadou, nourrie par votre histoire et par votre propre foi, mais cela avec une honnêteté telle qu'une athée comme moi peut vous suivre. Vous m'avez donné envie de relire Cadou et de découvrir les œuvres qui me manquaient : son roman La Maison d'été et son Artilleur de Metz.

J'aime infiniment la poésie d'Hélène Cadou, plus proche de nous dans sa forme, elle respire la grâce à chacun de ses mots. C'est l'une des personnes qui m'a le plus marquée dans la vie. Un soleil d'une grande puissance l'habitait. J'ai compris en la regardant ce qu'était la joie profonde.

"Renélène" sont indissociables, à jamais, dans notre cœur et dans l'histoire de la poésie. Soyez remercié de les garder tous deux vivants, souriants à la vie qu'ils aimèrent. Bien à vous, dans le partage du poème.

Marilyse Leroux, auteure, poète

Cher Jean Lavoué, je ne sais comment vous remercier : voilà trois jours que je chemine avec ravissement et émotion dans "la fraternité au cœur" qui nous invite avec tant de justesse, de sensibilité et aussi de simplicité à découvrir les voies intérieures et spirituelles de la poésie de René Guy Cadou ! Un pur bonheur que vous nous offrez. Vos évocations et vos souvenirs, vos réflexions intimes mettent en lumière et nous donnent à entendre le

chant profond du poète. A l'occasion du centenaire de la naissance de René Guy Cadou, votre ouvrage est un premier et lumineux hommage au poète.C'est aussi une magnifique édition : bravo !

Georges Fargeas, fondateur de l’université permanente de Nantes

Votre livre sur Cadou est un grand livre. Il vient de tomber, comme une tâche d'huile sur le tissu des réseaux cadoucéens. Avec le temps, il va imprégner tout le tissu. Les amoureux de Cadou, celles et ceux qui ont été touchés, comme lui, comme moi, par sa grâce, vont peu à peu comprendre l'importance de cet ouvrage. Le bouche à oreilles va fonctionner. Ce livre finira par avoir une large audience.

Jean Louis Cloët, écrivain et poète

La grande force du livre réside dans le fait qu’il est écrit par un poète, Jean Lavoué, à propos d’un autre poète, René Guy Cadou.  L’exercice d’admiration fondé sur l’émerveillement se déploie dans une riche et belle prose, à la hauteur du sujet. Tout tourne et se déploie autour du titre, magnifique, La Fraternité au cœur. Au cœur de quoi ? Assurément de sa vie d’homme, courte mais fidèle et tenace en amitié, radicale en amour : les pages sur Hélène et ce lien qui survit à la mort, sont parmi les plus belles. Fraternité au cœur de sa poésie, transitive par essence et toujours adressée aux frères humains. De nombreux extraits incitent à la découverte ou redécouverte de l’œuvre de Cadou. Les questions religieuses que cet agnostique suscite ne sont pas éludées. Le livre convoque une multitude de contemporains qui forment à eux tous un témoignage convaincant sur l’instituteur de Louisfert. Plus fondamentalement, le livre de Jean Lavoué, par sa tonalité intime, révèle la richesse d’une vie interrompue prématurément mais incroyablement féconde.  

Anne Prouteau, auteure

Votre livre me touche au plus profond : un grand livre, c’est un livre que l'on tient dans les mains comme un trésor et qui, même refermé, continue à vous faire du bien.   Dans quelque temps je vais le relire... J'ai la foi (ou du moins je l'espère !!!) et votre livre m'a nourrie, a élevé mon âme, et je crois que c'est en cela qu'il et précieux.

Quelle merveille ce livre et quel cadeau vous faites à la dame que je suis. Tout y est. Nous n'avons qu'à nous laisser porter par vos mots, les choix émouvants des extraits de l'œuvre de René Guy. Comment une vie aussi courte peut-elle être aussi complète, aboutie, dans tant de douleurs et de souffrances. La plongée dans votre livre a été pour moi un moment de douceur, de plénitude. C'est simple : j'aurais souhaité que cette lecture ne s'arrête jamais. Merci Jean pour votre talent et vos qualités de cœur qui irradient votre ouvrage.

Josiane Bidaut, lectrice

Voilà que je referme « La fraternité au cœur » et dans le mien, le sentiment d’une traversée où chacun de mes pas se glissent dans vos mots, traversée lumineuse, « végétale » où la mort est bien plus une présence qu’une absence et de la torsade, Hélène et René Guy Cadou, il va me falloir faire une tresse tant ce petit frère disparu est infiniment… là !

Traversée fraternelle qui donne envie de pousser la porte, d’entrer, de s’installer.

Traversée pour rejoindre la rive où demeure René Guy Cadou que je redécouvre grâce à vous. J’aime tant la poésie d’Hélène Cadou que je crois avoir délaissé celui que pourtant elle ne cesse de garder vivant dans ses poèmes.

 « Ecoute » … tout votre livre nous y invite. Alors merci de m’avoir redonné le goût de relire « Poésie la vie entière » et merci à votre ami illustrateur, ses aquarelles mettent les mots de René Guy Cadou en couleur et leur délicatesse s’accorde bien aux vers de « votre ami » poète.

Catherine Peron, lectrice

Ton écriture, tout à la fois poétique et fluide, nous exhorte à l’ouverture intérieure et à la relation, en nous laissant rejoindre par René Guy Cadou qui à travers toi et tous ses amis, nous parle au cœur...

Tes questionnements : quel juste chemin ! Tâtonner, s’ouvrir à l’inconnu, ne pas avoir de certitude, surtout pas, mais laisser en soi se dilater et se décanter une parole vivante et habitée, et la laisser nous rejoindre au plus profond de notre être sans que raison s’en mêle.

Ici, pas besoin du corps car la rencontre se vit ailleurs et autrement ; juste l’expérience invisible d’un être profond qui en rencontre un autre, comme un frère accueilli et aimé.

Expérience invisible et néanmoins dicible à travers une parole adressée en vérité...

A aucun moment, ton livre est un condensé de savoir, mais bien plutôt l’invitation à tous les compagnons de René Guy à nous rejoindre dans une ronde vivante et fraternelle autour de l’hôte autant salué que remercié.

Bravo et merci, pour les fruits de ton compagnonnage avec René Guy Cadou ; à chacun de tes lecteurs de les recevoir comme le signe de la fraternité au coeur !

Françoise Thérizols, musicothérapeuthe

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