Les
mots sont si seuls devant ton silence :
Écorce
maladroite, ils ne font que taire
Ce
qui aurait dû continuer à se dire,
Recouvrir
la sève.
Mais
où le ciel commence-t-il pour toi désormais :
En
cette fraternité de feuillages balancés par le vent
Ou bien
en ces pas d'oiseaux
Sautillant
insouciants sur les graviers de l'aube ?
Mais
pourquoi, même semé en terre,
Épousant
les étoiles,
Ton
sourire, Monika, irradie tel un soleil
Une
lampe suspendue à la voûte des jours ?
Ce 12
février 2020
Photo
JL 24 août 2016
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