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Le chant n’attend parfois
Qu’un oubli de ta part
Afin de resurgir, une fois encore,
Dans son éclatante nouveauté.
Appelle cela repos,
Appelle cela patience
Ou peut-être désert…
Rien ne sert alors de forcer l’issue,
Ni de t’arc-bouter :
Le verrou de l’inconnaissance
C’est en toi-même d’abord
Qu’il doit céder.
Jean Lavoué, 5 mars 2015
www.enfancedesarbres.com
Photo Bertsz/Pixabay
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