Maintenant les cuivres
les violons
l’orchestre des grèves
qui accompagne
le chant délivré
la marche comme une danse
entre vagues et lumières
Seul l’oiseau s’accorde l’instant
avec l’intensité voulue
Ce retournement joyeux
de la mort dans la vie
Les ailes battant la mesure
dans l’éclat des percussions et du soleil
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