![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhIOTVg7OTfWV70Ri3LqZ_12b5QuKWAH1qBjc6dDnutspwn4_ljcUNhGRiDbPCqslpo4E6fRYK7QyTnRrirYcqQOXiyWpEsRByBDlGUbj2FL5Sqc2BRFB80CCkWjrlh7vLGbAPZ-su3D84/s400/Ile+Calot+006-1.jpg)
Nul ne peut imposer à l’autre son rêve !
S’il est certes des forêts en marche,
Jamais elles ne couvriront la terre !
Qui ne sait la voie des nomades
Ignore que le désert le guette.
Apprends donc à marcher
A l’amble de ton sang !
Tu verras bientôt d’autres signes
Où s’allègeront tes pas.
Le monde est bien trop vaste
Pour en soupeser tous les chemins :
Ne va donc pas croire
Que seul connaît le but
Celui-là d’où tu viens !
Accomplis sans amertume
Le juste déplacement.
Laisse les taillis s’étendre,
Passe par-dessus des haies,
Vois se disposer en toi
L’étendue dont tu nais.
S’il est certes des forêts en marche,
Jamais elles ne couvriront la terre !
Qui ne sait la voie des nomades
Ignore que le désert le guette.
Apprends donc à marcher
A l’amble de ton sang !
Tu verras bientôt d’autres signes
Où s’allègeront tes pas.
Le monde est bien trop vaste
Pour en soupeser tous les chemins :
Ne va donc pas croire
Que seul connaît le but
Celui-là d’où tu viens !
Accomplis sans amertume
Le juste déplacement.
Laisse les taillis s’étendre,
Passe par-dessus des haies,
Vois se disposer en toi
L’étendue dont tu nais.
.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire