Parfois ce qui affleure
De la nuit silencieuse
Voudrait être transcrit.
Tu cueilles les premiers mots
Comme on ouvre un jardin :
Le vieux portail désaccordé
Se perdait dans les herbes folles,
Tu n’as pas à beaucoup forcer
Pour entrevoir, désordonnée
La joie qui t’emporte
Dans un océan de couleurs.
De la nuit silencieuse
Voudrait être transcrit.
Tu cueilles les premiers mots
Comme on ouvre un jardin :
Le vieux portail désaccordé
Se perdait dans les herbes folles,
Tu n’as pas à beaucoup forcer
Pour entrevoir, désordonnée
La joie qui t’emporte
Dans un océan de couleurs.
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