Te souviens-tu du poète
Qui ne s’attendait à poser
Que quelques pas sur cette terre,
A ne jamais franchir
La barrière de l’octroi,
Ni à dépasser l’allée sage du calvaire ?
Est-ce lui qui t’a mis ainsi
Des souvenirs d’enfance plein la tête ?
Te serais-tu laissé gagner
Par le feu qui couvait
Sous son pupitre d’écolier,
Et par ses mains
Qui sentaient bon le thym
Et la colle de menuisier ?
S’il est des anges sur la terre,
Tu sais que tu peux compter sur lui,
Et sur ses beaux jets de pierre
Dans les vitraux écarquillés :
Le monde est bien plus pur
Quand il ne se laisse pas regarder
A l’envers.
Qui ne s’attendait à poser
Que quelques pas sur cette terre,
A ne jamais franchir
La barrière de l’octroi,
Ni à dépasser l’allée sage du calvaire ?
Est-ce lui qui t’a mis ainsi
Des souvenirs d’enfance plein la tête ?
Te serais-tu laissé gagner
Par le feu qui couvait
Sous son pupitre d’écolier,
Et par ses mains
Qui sentaient bon le thym
Et la colle de menuisier ?
S’il est des anges sur la terre,
Tu sais que tu peux compter sur lui,
Et sur ses beaux jets de pierre
Dans les vitraux écarquillés :
Le monde est bien plus pur
Quand il ne se laisse pas regarder
A l’envers.
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