Tu vis entouré d’arbres
Et tu ne le sais pas.
Le pupitre où tu écris
De quelle lointaine forêt
T’apporte-t-il l’ombrage,
Et ces milliers de livres,
Comme des oiseaux trop sages
Qui ne savent plus qu’ils ont su voler !
A quoi bon caresser tes meubles,
A quoi bon soulever l’archet
Si tu oublies la musique familière
Du vent dans les feuillages !
Et tu ne le sais pas.
Le pupitre où tu écris
De quelle lointaine forêt
T’apporte-t-il l’ombrage,
Et ces milliers de livres,
Comme des oiseaux trop sages
Qui ne savent plus qu’ils ont su voler !
A quoi bon caresser tes meubles,
A quoi bon soulever l’archet
Si tu oublies la musique familière
Du vent dans les feuillages !
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