Le poème,
Cette trouée soudaine
Dans l’obscur des heures,
Tu ne finis pas
D’en déchiffrer
Le rébus ajouré,
D’en capter à tout venant
Les signes éphémères,
Cherchant les vents,
Déjouant les courants,
Sur cet océan de forces
Où toutes joies convergent.
Cette trouée soudaine
Dans l’obscur des heures,
Tu ne finis pas
D’en déchiffrer
Le rébus ajouré,
D’en capter à tout venant
Les signes éphémères,
Cherchant les vents,
Déjouant les courants,
Sur cet océan de forces
Où toutes joies convergent.
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