A nouveau la maison vide
Pour que tu l’habites pleinement,
Avec ses croisées silencieuses
Pour contempler le ciel.
C’est quand ils s’attardaient au désert
Que les chemins de fête
Etaient les plus beaux.
Et la solitude
C’est tout au fond de toi
Qu’il te fallait la changer
En bouquet.
Pour que tu l’habites pleinement,
Avec ses croisées silencieuses
Pour contempler le ciel.
C’est quand ils s’attardaient au désert
Que les chemins de fête
Etaient les plus beaux.
Et la solitude
C’est tout au fond de toi
Qu’il te fallait la changer
En bouquet.
.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire