Dans l’ordinaire des jours
J’ai puisé à pleines mains
Au grand lavoir des mots
Et je m’y suis baigné
D’une eau pure
Dénuée
De tous soupçons
J’ai puisé à pleines mains
Au grand lavoir des mots
Et je m’y suis baigné
D’une eau pure
Dénuée
De tous soupçons
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