La pensée est parente du sang.
Elle nous illumine.
Pourvu que nous la laissions prendre visage.
Longtemps nous avons cru qu’elle s’imposait à nous
de l’extérieur.
Alors qu’elle nous expose à devenir
ce que nous sommes, nous ignorant.
La pensée doit devenir corps,
irruption du souffle,
chair qui s’envisage offerte au soleil qui vient.
JL
.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire