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L’arbre fut pour moi la métaphore vivante de ce mouvement immobile qui s’engendrait. Plus qu’une métaphore ; un appel. Il ancre désormais le ciel de mes jours. Il indique l’axe, le vertical, tout autant que le croisement des routes, l’infini réseau de sentiers souterrains creusés par ses racines. Demeurer dans cette patience voulue, feuille au vent, fragile, éphémère et tout autant garant du présent éternel.
JL
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L’arbre fut pour moi la métaphore vivante de ce mouvement immobile qui s’engendrait. Plus qu’une métaphore ; un appel. Il ancre désormais le ciel de mes jours. Il indique l’axe, le vertical, tout autant que le croisement des routes, l’infini réseau de sentiers souterrains creusés par ses racines. Demeurer dans cette patience voulue, feuille au vent, fragile, éphémère et tout autant garant du présent éternel.
JL
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