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Cesser de la tenir en respect celle qui suscite un tel encombrement de nos jours : l’accueillir au contraire comme un soleil qui transfigure tout : la mort, l’autre nom de Dieu. Joie du dépouillement enfin consenti. Chemin qui conduira François vers le grand acquiescement au Très-Bas : la paix des profondeurs. Il est possible de se laisser retourner ici-même. Dans l’instant ! Quittons les mots du poème qui sont encore trop extérieurs, résonnent encore trop joliment, trop musicalement à notre oreille. Laissons-nous pénétrer par le souffle. Maintenant.
JL
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