.
Rien d’autre n’est nécessaire que la pratique vécue non pas comme une obligation mais comme un appel : celui de notre nature profonde, authentique, originelle. C’est vrai de chaque homme, de quelque tradition qu’il se réclame. Nous avons besoin du silence comme d’une eau vive qui refait nos forces, ravive l’âme. Comment trouver le silence ? Le forcer le fait fuir. Pas d’autre voie que celle qui consiste d’abord à mettre le corps au repos. Non pas un repos mécanique, abruti. Mais un repos vivant, pleinement conscient de la vie et de l’énergie qu’il libère.
JL
.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire