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Se laisser germer dans cette terre de la promesse.
Se laisser pousser, grandir, jusqu’au fruit mûr.
Pas d’autre connaissance, pas d’autre apprentissage
que ceux-là que nous possédons déjà
et qu’il nous suffit de laisser venir au jour.
JL
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1 commentaire:
Cher Jean Lavoué,
Vous devinant aussi généreux qu'un pommier, je me suis permis de ramasser quelques uns de vos fruits tombés ces jours derniers de vos hautes branches, pour les semer dans mon verger...
De tout coeur.
Le coeur étant le fruit lent à venir de ces Arbres bien aimés de Dieu qu'il a nommé les hommes.
Robert Empain
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