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Ainsi, chacun de nous avons-nous dû abandonner nos bagages
pour nous livrer à la joie âpre des éléments,
ces vents, ces rochers, ces ciels abrupts.
Chacun suivant sa route, mais tous au fond devancés
par cette même nécessité de regarder la mort en face,
de ne plus fuir vers un irréel au-delà ;
mais, au contraire, de trouver ici même la source, le Poème et le chant.
Cantus firmus autour duquel tout s’ordonne...
JL
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