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mercredi 22 octobre 2014

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Un seul poème
Même privé de mots
Troué de mystère
Blanc comme neige
Parfaitement silencieux
Ta vie vouée aux marges
N’en serait-elle pas malgré tout magnifiée


Jean Lavoué



















































































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2 commentaires:

Anonyme a dit…

Tout est cousu d'enfance n'est ce pas ...?
Ce n'est pas nous qui disons les mots
Ce sont les mots qui nous disent ...(disait Witold Gombrowicz)
Les mots qui nous disent ...Comme des icônes sonores ...
Quel'espace de la coupe du coeur est naissant dans le tissage de ces paroles de poésie animant chaque jour la fenêtre de nos jours ..
Quelle Présence anime les battements de ce coeur ...?
La poésie comme une prière , une respiration , un chant du cosmos et de toutes ses couleurs ...

Jean Lavoué a dit…

Oui ouvrir la coupe du coeur
N'est-ce pas l'essentiel ?

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