Dis y-aurait-il seulement place
Pour loger ce moineau
Dans la nuit grégorienne de ton
cœur
Là sous l’arche de ta poitrine
Juste entre ces deux branches
Comme ciel dans la cerisaie
Saurais-tu le choyer de lumière
L’enivrer de souffle chaud
Ce petit moine égaré
Ce petit moine égaré
Le tutoyer de notes pauvres
Dans le plain-chant de sa clarté
Jean Lavoué
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