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Qui
apaisera nos âmes où le poème s’est figé
Un
envol de biche zébrera-t-il soudain
La
plaine enneigée
Dans
le silence infini du cœur
Où s'ouvre l'humble brèche
Où s'ouvre l'humble brèche
Le
jour lentement s’affranchit
Jean Lavoué
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1 commentaire:
Il faut l'espérer...
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