« La
plus belle métaphore de la poésie, me dit un jour l’ami Serge Wellens, c’est
Jean Rousselot qui me l’a offerte ». Ce dernier avait l’habitude de
distribuer chaque matin du pain aux oiseaux. Moineaux, mésanges et merles
s’arrangeaient à peu près jusqu’à l’arrivée des pies chassant tout le monde.
Alors, quand il n’y avait plus ni miettes ni convives, le rouge-gorge arrivait
en solitaire de nulle part, et se nourrissait « de presque rien » avec minutie. Et il conclut :
« telle est la poésie. »
Ce
rien qui nous éclaire, L’enfance des arbres, mars 2017, Extrait de la préface
de Gilles Baudry
Patience
pour tous ceux qui ont eu la gentillesse de précommander « Ce rien qui
nous éclaire ». Le manuscrit est parti chez l’imprimeur. Le livre (156 p.)
sortira fin mars. Vous le recevrez dans votre boîte à lettres début avril. Sauf
pour les Lorientais – Merci « Quand les livres s’ouvrent » ! -
il ne sera sans doute pas très facile à trouver ni à commander en librairie…
Voici le lien direct (dédicace en prime pour ceux qui le souhaitent) : demandes
à adresser, à l’ordre de Jean Lavoué, à L’enfance des arbres, 3 place vieille
ville, 56 700 Hennebont (jlavoue@gmail.com).
1
exemplaire : 13 euros + 2 euros de frais de port
Port
gratuit à partir de deux exemplaires (26 euros, 39 euros etc.)
Possibilité
également de ne régler qu’à réception du livre accompagné de la facture, en adressant
dès à présent votre adresse par email ou en message privé.
D’avance
Merci !
Photo :
l’une des deux gravures de Nadejda Menier à l’intérieur du livre.
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