Les larmes
Ne sauraient
avoir raison
De notre
chagrin sans fond
Face
aux victimes innocentes
Dont la vie
est soudain brisée.
Nous ne
viendrons pas à bout de cette haine
Seulement par
la force,
Mais par la
vérité qui rend libre
Et par le mystère
fécond de ces vies données.
Jean Lavoué, le 24 mars 2018
.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire