« La vie que je mène me va. J’y chante avec tant de douceur le
beau chant de la pauvreté. » Charles de Foucauld
Pourquoi chercher ailleurs
Ce lieu qui n’est qu’en toi
Ce fil ténu
Qu’aucun réseau ne te tendra
Cette marge secrète
Cet espace dénudé
Cette source oubliée
Qui n’attend plus que toi
Pour t’ouvrir au désert
La piste sans mirages
Car elle est le chemin
Qui t’entoure d’amour
La justesse du vent
Où s’entrouvre ton âme
La Vie qui refleurit
Dès que tu es printemps
Ô Silence attendu
Ô Tendresse sans voiles
Ô Carte sans boussole
Ô Murmure espéré !
Jean Lavoué, 5 septembre 2018
Photo Assekrem Hoggar jackmac34 Pixabay
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