Adossé au
silence,
Tu
pousses les vantaux
De
l’épais bavardage
Qui
encombrait ta vie.
Tu n’es
plus seul alors,
Le vent
s’est endormi
Dans le
creux de tes mains,
Les
arbres sont complices.
La parole
se noue
Aux
ramures de ta voix,
Tu as
juste à saisir
L’instant
qui te dit Oui.
Jean Lavoué, 17 janvier 2019
.
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