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Lorsque ta vie vacille,
Que le monde s’enchevêtre
En branches bien trop lourdes,
Que le ciel t’apparaît
L’indéchiffrable énigme,
Que des forces prodigieuses
Veulent s’emparer de toi,
C’est le signe, lâche prise !
Le printemps est la clé
Du silencieux naufrage,
Le sceau mystérieux
De ta déroute et de ta joie.
Jean Lavoué, 28 février 2015
www.enfancedesarbres.com
Photo C Cité Universitaire de Paris
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