Cette lumière sur nos visages
c'était donc toi
Ce soleil partagé
Ainsi je chemine avec toi
je marche à la boussole
aimanté par l'absence
Les mots mêmes qui se taisent
m'enseignent
Je te devine
à la fraction du pain
La vie même partagée
pour relier l'indicible
Qu'à jamais ne se ferme la blessure
1 commentaire:
Je ne comprends pas bien le dernier vers de ce poème : est-ce "Qu'à jamais se referme la blessure" ou "Que jamais ne se referme la blessure" ?
Votre formulation est équivoque... mais votre poème beau !
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