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dimanche 4 novembre 2007

Cette lumière sur nos visages
c'était donc toi

Ce soleil partagé

Ainsi je chemine avec toi
je marche à la boussole
aimanté par l'absence

Les mots mêmes qui se taisent
m'enseignent

Je te devine
à la fraction du pain

La vie même partagée
pour relier l'indicible

Qu'à jamais ne se ferme la blessure

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Je ne comprends pas bien le dernier vers de ce poème : est-ce "Qu'à jamais se referme la blessure" ou "Que jamais ne se referme la blessure" ?
Votre formulation est équivoque... mais votre poème beau !

[URL=http://www.compteur.fr][IMG]https://www.compteur.fr/6s/1/6057.gif[/IMG][/URL]