Au-delà de l’inconscient
Remue le Saint-Esprit.
En un sens je prie
A longueur de jours.
Un visage, un arbre,
Une marche usée :
J’éprouve la déchirure.
Jean Sulivan
Tu n’as que ce sentier des sources
Pour revenir à toi,
Cette clarté nomade
Qui franchit l’horizon.
Tu marches sans bagages,
Sans médaille à ton cou,
Sans nulle cathédrale
A l’orient des jours.
Mais tu crois à l’étoile
Tout autant qu’au chemin.
Tu entrevois la croix
Qui te noue au mystère,
Et la femme dont la nuit
Engendre un soleil.
Remue le Saint-Esprit.
En un sens je prie
A longueur de jours.
Un visage, un arbre,
Une marche usée :
J’éprouve la déchirure.
Jean Sulivan
Tu n’as que ce sentier des sources
Pour revenir à toi,
Cette clarté nomade
Qui franchit l’horizon.
Tu marches sans bagages,
Sans médaille à ton cou,
Sans nulle cathédrale
A l’orient des jours.
Mais tu crois à l’étoile
Tout autant qu’au chemin.
Tu entrevois la croix
Qui te noue au mystère,
Et la femme dont la nuit
Engendre un soleil.
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