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vendredi 13 mai 2011

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Le poème se donne à mesure. Le mental peut se taire, laisser place aux clairières. Tu t’avances dans le chant souverain. Pas de sandales aux pieds. Comme dans un espace sacré. Tu reconnais chaque arbre qui t’a vu naître. Amitié pour chaque brin d’herbe, chaque fleur. Pas d’exercice qui te soumette aussi patiemment à l’écoute intérieure. Pour qui cette écriture ? D’abord pour l’ouverture en toi à Cela que tu ne nommes pas.

JL




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